dimanche 16 août 2015

Deux évènements à venir dans ma p'tite vie

     




Le premier est très personnel et m'inquiète un petit peu, dans 15 jours je passe le demi-siècle, j'ai déjà pas mal de cheveux blancs, des verres progressifs, un antécédent de sciatique... qu'est ce qui m'attend ???

Non pour de vrai je n'ai pas peur de vieillir, il me reste encore plein de belles choses à découvrir comme être grand-père... pas trop vite tout de même mes chers petits, vous êtes encore bien jeunes !








Le deuxième sera plus médiatique et c'est dans tout juste un mois le 17 septembre que parait :

N'oublions pas les Enfants, un livre écrit avec Anne Coutures (j'explique d'ailleurs en post face combien écrire à deux a été surprenant pour moi.... un livre qui devrait surprendre ceux qui attendent des positions bien tranchées... en avant première voici un lien pour en découvrir la couverture.
Et celui de mon éditeur.



     

8 commentaires:

Lalie 37 a dit…

1965 est un excellent cru....bon 1/2 centenaire !!!!
Lalie

Anonyme a dit…

je confirme 1965 est un excellent cru et on s'y fait bien à ces 50 ans surtout quand dans sa tête on reste jeune.
et comme m'a écrit mon père le jour de mon anniversaire ce 19 avril "ma fille quand tu réussis ta 1ère moitié, la 2nd ne peut être que parfaite" ce jour là j'ai pleuré!
donc à mon tour de vous dire j ai eu de la chance d'adopter une adorable petite fille de 7 ans qui en a aujourd'hui 9 et qui depuis ce 17 juin est devenue française après avoir connu bien des tumultes dans sa petite vie et je suis fière de pouvoir l'aider à grandir au sein de notre famille. Continuez à nous aider par vos conseils, coups de gueule et autres et je vous dis avec grand plaisir joyeux anniversaire prof

Stephanie a dit…

Félicitations pour votre livre et votre 1/2 siècle... Je viens d'en avoir 40 et j'ai découvert cette petite phrase: "Vieillir, c'est la meilleure facon de ne pas mourir jeune!". Bon anniversaire et plein de bonnes choses pour ce livre!

Unknown a dit…

bon anniversaire un peu en retard!
"l'age c'est dans la tête" m'a dit une patiente rayonnante de 98 printemps ;) !

Anonyme a dit…

je souris en lisant la présentation...
je n'ai aucun avis là-dessus, étant donné que je ne connais aucun cas semblable dans mon entourage...
en revanche, des cafouillages pour ne pas dire des problèmes sérieux, j'en ai souvent constaté chez des couples (d'un certain age) qui se sont tourné vers l'adoption en désespoir de cause, et dont l'enfant était tellement attendu qu'on lui passe tout, qu'on en devient le jouet...
mais ça...personne n'en parle. Bizarre? (c'est moins vendeur surement que celui qui a deux papas ou deux mamans ou qu'un seul papa ou qu'une seule maman!)...

une adoptante solo, qui a adopté "en espoir de cause", par vrai choix et non pas par pur dépit, ni après s'être torturée des années avant de se dire il vaut mieux ça que rien du tout...


Anonyme a dit…

Très courageux ce livre



Anonyme a dit…

Bon demi-siècle, docteur, une bonne décennie que celle que vous abordez... en tout cas j'en ai un bon souvenir.
Pour ce qui est de la statistique sur les enfants adoptés à problèmes, j'aimerais en disposer. J'en vois pour ma part dans toutes les configurations familiales et la distribution me semble assez équitable (couple ou pas, type de couple, âge des parents, âge de l'enfant à l'arrivée, et que sais-je...). Par ailleurs, avec le recul, j'aurais tendance à sourire (si le sujet n'était pas si grave) des jugements lapidaires portés au bout de quelques années d'adoption, voire quelques mois. Il fut un temps où je me disais que rien n'était joué avant d'arriver au jeune adulte, à présent, je me dis que c'est tout au long de la vie que les choses se jouent et se rejouent, y compris en ce qui concerne ce que les parents ont su semer.
Des parents qui apprennent à leur gosse à faire avec leur histoire et à avancer la tête haute, est-ce que ce n'est pas de ça dont nos enfants ont besoin? Leur inculquer la conviction profonde que chacun a son histoire et que chacun est différent ne peut que faire d'eux des personnes tolérantes, ce qu'on souhaite à chacun, d'une part, et d'autre part, ne peut que les aider à s'accepter eux-mêmes avec leur spécificité. Chacun de nous fait ça à sa manière, avec les armes dont il/elle dispose, en tant que parent et en tant que personne. Ceux qui ont expérimenté la différence pour eux-mêmes, quelle qu'elle soit, disposent a priori d'une compétence - ce qui ne veut pas dire que la solution qu'ils proposent ne présente pas d'autres faiblesses... mais à chacun ses atouts, ayons l'honnêteté de le reconnaître.
Une mère adoptive solo parce que la vie l'a voulu ainsi, élevée avec sa fratrie par un père rendu solo par un accident de la vie

Anonyme a dit…

@anonyme du 13 sept
"...se sont tourné vers l'adoption en désespoir de cause, et dont l'enfant était tellement attendu qu'on lui passe tout, qu'on en devient le jouet..." et vous pensez que cela n'arrive pas avec une mère célibataire ou un couple homosexuel?
Je ne comprends pas cet argument. Les mères solo ou les couples homo ne sont ni meilleurs ni pires que les autres -tout le monde a ses défauts et ses casseroles- ils ont juste leurs limites liées à leur configuration familiale (personne seule ou couple de même sexe), c'est tout.
En tout cas une chose ne changera jamais, qu'on soit tolérant ou pas, progressiste ou rétrograde, c'est qu'un enfant adopté se posera des questions sur sa mère et sur son père biologiques. L'enfant adopté n'est pas très moderne là-dessus j'en ai peur...
J'ai été élevée par une mère solo, j'élève mes enfants avec leur père, je vois la différence en découvrant jour après jour ce qu'apporte un papa dans une famille dans les différents âges.